"Livre de tobia"

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Elsa marchait tranquillement dans les bas quartier de Renardière-Port. La fin des cour étant passer depuis une demi- heure, cette jeune fille de 16 ans marchait aussi vite quel lui permettais son sac de cour et surtout sa petit taille.
Un mètre soixante.
Elsa était peut être petite, mais elle était fine. Proportionner sur tous les aspect que pouvait voir en elle une adolescente. Elle appréciant sa chevelure rousse qui lui descendait jusqu’à bas du cou. Moins quand elle frisait après la pluie ou en sortant de sa douche. Ses joue pailleter de petit tache de rousseur, la faisait sourire, elles contrastais parfaitement avec son tint légèrement pale. Du as ses origine bretonne. Son regard vert émeraude, pétillait d’intelligence, et ses doigt, tels ceux d’un pianiste était fin et agile.
Le piano, n’était pas son truc, cette élève en informatique, utilisait plus comme partition, les code binaire et un tournevis que les croches et l’archet.
Elsa avait un don pour les machins, et autre technologie. Ne l’avait elle pas encore prouver a Nathan un quart d’heure avant…..

♪♫♪♫♪

Nathan et elle avait marché les quelque centaine de mètre qui séparait leur lycée des arrêt de bus, parlant de tous et de rien avec se grand brun a la queue de cheval qu’était son ami. Nathan Pittoré était un grand garçon de 17 ans, il aimait avoir les cheveux long. Portait des lunettes au monture bleu turquoise et avait le rire facile. Se parisienne était son meilleure amis et son coéquipier pour toutes les activité qu’offert leur cours et le mondes du web. Il ne se connaissait que depuis le début de l’année précédent.

- bon aller donne la moi, je te pari un ticket de cafète que je te la fait marcher en moins de trois essai, lança Elsa en tendant la mains vers son ami.

- Paris tenue, retoqua Nathan en lui donnant sa carte de bus.

Celle-ci étant défectueuse ne marchait que quand elle était de bonne humeur, mais Elsa arrivait a la faire marcher a chaque fois. Nathan savait pertinemment qu’il perdrai son pari mais c’était le but, il connaissait la situation de son amie et bien qu’elle ne lui en avait jamais parler, il l’aidait comme il le pouvait. D’habitude la carte bloquait devant les borne magnétique, faisant ragé son possesseur. Elsa la pris du bout des doigts tous sourire.
Malice.

- tu est sur de pas vouloir venir quand même….commença de continuer le parisien.

- Non, non et non. Je ne passerai pas en fraude dans se bus parmi la cohue qui entre. Fut- il couper par Elsa.

- tu préfère te taper, tes Quoi? 2 heure de marche. C’est con je trouve.

- un quart d’heur. Je n’est que un quart d’heure de marche et pas deux heure comme tu te plait a le dire.

- C’est pareil. Bougonna Nathan.

- et puis quand bien même je devait marcher deux heure je le ferai. Renchérie son amie. Maintenant chut ton bus arrive.

Tranquillement le véhicule de la société Whammer Transport vint se garer devant l’arrêt qui lui était a-titré. Elsa entra avec son ami et passa la carte devenant le lecteur. Qui ne la refusa pas.
Nathan émit un petit soupir, mi-exaspérer, mi-content.

- Tien. Lança Elsa en lui rendant la carte.

- t’est têtue….

- Non, bretonne!

Elle lui fit la bise et sorti tranquillement du bus en saluant Nathan, prenant le chemin vers son internat.

♪♫♪♫♪

Elsa révisait son histoire tous en marchant, elle avait beau avoir fanfaronner devant Nathan. Elle était pas fière quand elle traversait certain quartier. Notamment le Square Steve Livingstone, le prochaine croisement auxquelles son chemin menait. Dans les sombre ruelle mal entretenue quelle traversait, tous les bruits devenait danger, toutes les ombre devenait tueur en série attendant sa proie, et pour Elsa. C’était elle la proie. Comme pour se rassurer des bruit de pas quelle pensait entendre derrière elle, sa prise se raffermit sur son livre, le collant a sa poitrine pendant que son souffle se fit plus court. Par contre ses pas se firent plus long.
Devant elle, le Square Steve Livingstone s’ouvrit. C’était une petit place coincer entre plusieurs immeuble, sept rue partait du centre où se trouvait une cabane de bois contenant des toilette publique nauséabonde et les poubelle des habitant de se quartier.
En bref, que des ordure.
Autant Matériel.
Que humaine.
Elsa grommela dans sa barbe. Chaque rue était bloquer par des personne qui tentait manifestement a passer inaperçu, inutilement.
Là un homme et une femme s’embrassait langoureusement en tournant sur eu même d’une manier comique, Ici une femme parlait tous forte un langue étrangère dans la bouche de son téléphone portable. Une bande de adulte voulait passer pour des jeune, essayait de passer inaperçue en chahutant.
A chaque rue une ou plusieurs personne était la, comme si il guettai l’arriver d’un individu, qui serait visiblement mal reçu par leur soin.
Un grincement fit se retournée la jeune fille, elle s’était arrêter pour contemple, se qu’ elle trouvait être, une comédie. Pendant se temps, deux femme avec des poussette arrivait et stoppèrent leur marchent juste a l’entre de la ruelle. Coupant la seul voix de retraite a Elsa. Une des femme se pencha comme pour donner le biberon au poupon qui devait être dedans.
Et se fut la que, bizarrement sans réellement choquer la jeune bretonne, la situation dérapa totalement.

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Elle manquais d’air.
Elle suffoquait.
Elle ne comprenais rien de se qui lui arrivait.
Elle arrivait a peine a respirer.
Elle avait mal.
Très mal.
Un boule c’était former au creux de ses reins et remontait vers sa gorge, en lui arrachant des crie de douleur muet.
Elle ne se rappelais plus clairement comment elle en étant arriver la. Affaler sur les paver du Square Steve Livingstone, a regarder ses bourreau. En tentant inutilement d’attraper, bras tendu, son livre d’histoire.
De nouveaux coups allait bientôt pleuvoir. Mettant fin au répit que s’accordait ses assiégeants.
Nouvelle pulsion de douleur, la chaleur était maintenant dans sa gorge, bloquant sa trachée. Elsa voulut se rappeler de ses amis, sa famille, avant de mourir. Mais ses penser était tourner vers autre chose.
Les dernier dizaine de minute de sa vie.

♪♫♪♫♪

Lorsque la mère de famille, releva la tête, un drôle de pistolet était dans ses mains, pointer vers Elsa. Le groupe de jeune homme s’était alors approcher pendant que la femme qui parlait il y a peu au téléphone se mettais a psalmodier dans une autre langue.
L’air devin lourd, Elsa tournai de la tête dans tous les sens pour trouver une issu a se traquenard. Le premier tire la pris au dépourvu. Un rayon violet vint finir sa course dans ses omoplate.
Aie!
Non pas de douleur. Juste de l’engourdissement.
La second femme sorti a son tour une arme similaire et fit feux. Elsa était prête cette fois elle plongea vers le sol en lançant son livre d’histoire sur une des femmes ▬ Mme Ophélia n’aillait pas aimer voir son bouquin de cour couvert de bous ▬ qui se le pris en plein visage et tomba part terre. La femme a téléphone leva les main en parlant toujours une étrange langue, la terre se mis a trembler sous les pas d’Elsa qui peinai déjà as se relever. Le groupe d’homme arrivait armer de batte de base-ball. Pendant que la femme a terre se massai le poignet l’autre continuait a faire feux.
Elsa cour, toucher a la jambe elle trébuche, toucher au bras elle gémis, toucher a la tête elle s’affale au sol en jetant un regard noir au canon qui va de nouveaux faire feux.
Boum!!!
Le pistolet futuriste explosa dans les main de la femme emportant ses doigt par la même occasion.
Elsa se relève en se tenant le ventre proie a une douleur, puis bondit sur le coter d’un volte face avant de se retourner. Face a la personne qui psalmodia.

- Alom nyyatros mu jikkuen nyufiste. Aoras!! Cria t’ elle.

La foudre jaillit de ses mains, et frappa Elsa dans le ventre, la douleur qu’elle éprouvai tripla, et remonta prés de son cœur. Elle devin muette, tant le besoin de crier était la.
Le groupe des sept homme au batte, faisait désormais un cercle autour de la lycéenne, la femme au éclair repris la parole.

- Humunom hyts, guuta ferusi, fosny. Dit elle avec douceur les main en coupe au dessue de la blesser.

Une bulle de lumière rose apparue, enveloppant le moignon de la femme. Celle-ci se calma pendant que le sang arrête de gicler de ses veine détruite. La main droite de la femme n’était plus, pour la gauche le résultat n’était guère plus satisfaisant. Le pouce, l’annulaire et le majeur gisait par terre, ou du moins les reste gisait par terre dans un mare de sang, de lambeau de chaire calciné par la déflagration et de morceaux d’os.

- Tue-la! Tuez cette bâtarde. S’écria la blesser.
- Non! Coupa la femme en arrêtant la bulle de rosée. On doit ramener cette Ethæriais vivante. Nous ne pouvons la tuer Lucy!

Et avant que l’autre ne se remette a crier, elle porta deux doigt sur son front.

- Vrisquo!

Les yeux de la dénommer Lucy s’exorbitèrent puis elle s’affaissas comme une marionnette auquel on aurais couper les fils.

- Maria! Occupe toi de Lucy! Pablo toi et tes homme vous vous occuper de la petite Ethæriais, ma magie marche mal contre elle, et nous avons vu se quelle a fait au Stupefeur! Ordonna la dite Magicienne.

Magicienne, se mots sonnait comme une fatalité dans l’esprits d’Elsa, depuis toujours elle croyant en les force dit occulte, mais des que la femme avait lever les bras pour lancer des éclair, elle en avait eu la certitude. Un autre mot avais une consonance particulier dans son esprit, mais la douleur qui brulait le bas de sa gorge l’empêchait de sent souvenir.

- Bien, Madame Pallandre. Julien, Marc, Thomas, venez avec moi, Omar, Philipe, Frank aller faire le guet avec Ulric et Hélène.

Trois personne se déplacèrent de manière a couvrit les rues partant du Square. Les autre converge vers Elsa.

♪♫♪♫♪

Le accorder pris fin, en l’image d’un coup de batte qui mit Elsa a terre, puis les coups plurent. La jeune fille voulut criez quand un craquement net répondit au choc du bois et de son coude. A terre, ses doigt grattèrent le sol pour la sortir du cercle de supplice dans lequel elle était. Embrumée, son esprit se focalisa sur son livre de math si bien quelle croyait presque que l’atteindre mettrai fin au lynchage qu’elle subissait.

- Azarmus fol thérios ,nubolim de fro fol dal, Mimnir!

La magie invoquer, la frappa de plein fouet.
Elle cria.

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Elsa cria.
Un Echo.
La boule de douleur qui avait attint son apogée alors que le hurlement sorti d’elle.
Avec lui la magie des Ethæriais, qui attendant patiemment depuis le tréfonds de son êtres, jailli comme une myriade de lumière.
Et tourbillonna autour de la jeune femme, devant les yeux de ses bourreau.
Qui de peur avait reculer de quelque pas.
Et frappa.
La seul chose que Elsa avait en têtes a ses moment.
Le livre d’histoire.

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Bastion du Dragon Zhouten, Chine, - 572 avant J-C.

Le sang goutait, brisant le silence. Une jeune femme sortie de l’ombre projeter sur le mur.

- Sire, Zhouten, ne convoiter plus le trône de l’empereur de chine…..

Puis elle retira le poignard qui déplaçait de la gorge de son interlocuteur. Apres avoir lever l’arme devant ses yeux, elle contemplât sa finesse. C’était un poignard au manche noir, seul un bille de jade ornai son pommeau. Lame, quant a elle, était long d’une quinzaine de centimètre, denteler sur les cinq premier. Fini par deux pointe jumelle, comme une langue de serpent. Au bout de l’acier tranchant perlai un goutte pourpre, l’ombre la déposa sur le front du cadavre. Un vieux chinois au crane dégarnie et qui portai un fine moustache et un barbe grise soigneusement nettoyer, comme tous ceux de son caste.
La silhouette se retourna et commença a partir en rengainant l’arme.

…. Ou le Jade noir vous traquera même parmi les esprit!

Puis alors quelle empruntais un escalier, un raie de lumière illumina la jeune femme. Mince, et de taille moyenne, elle devait avoir dans les vingt-cinq ans. Bien évidement chinoise, elle était habiller d’une tunique noir et d’un pantalon noir très serrer, sur ses bras découvert, un cordon tresser de noir et de vert, se trouvait entre ses épaule et ses coude. Se cordon était, doubler et, tenu sur les bras de la jeune chinoise par un élégante nœud de chaise, les extrémité était toutes fini par des poche de cuir serti d’une petite bille de jade. Un même cordon retenait son pantalon de toile au niveau de ses hanches. Son visage était fermer, soucieux de l’efficacité. Pas de coiffure compliquer comme les princesse et autre dame du Soleil Levant, juste un courte natte qui descendait jusqu’à ses omoplates. Le rayon blanchâtre glissa sur les courbe de son corps, déjà l’assassine poursuivait son chemin. Elle posa la mains sur la rambarde de bois et fit courir ses doigt dessus alors quelle descendait a pas feutrer. Soudain le froid mordit ses doigt.
L’acier avait remplacer le bois. Alors qu’elle devait se trouver en plein milieu du château, l’escalier de métal longeait désormais un mur de brique. Et le sol était a peine a quelque mètre.
Un crie!
Elle fit volte face, et bondit. Avant même de voir et surtout de comprendre elle avait frapper

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Thèbes, -2823 avant J-C.


Une main passe sous le rideau de perle qui cachait le reste d’un long couloir.

- Venez!

Des pas presser martèle le sol de grés, deux personne marche d’un pas rapide.

- Est-ce moment, Apuu? Demanda une voix fluette.

- Je ne suis pas sur, mais par la volonté du grand Thot, votre maitre, Mezhimere pense que le moment approche…

Le jeune égyptien sourit.

- loué soit le grand faucon, loué soit l’ibis! Je vais enfin partir…

- Dépêchons, maitre Imhotep! Dépêchons, je vous en conjure!

Imhotep arriva devant les portes de son maitre, c’était un belle porte de bois, son contour était un représentation du dieux a la tête d’Ibis, Thot, le dieux du savoir, des scribe et des architecte. Sous l’aile gauche se trouvait le bureau personnel de Mezhimere.
Imhotep pris la porte de droite.
Il s’inclina profondément, en priant les dieux, puis retrouva son mettre après de l’autel. Apres un court silence religieux celui-ci se leva et regarda son disciple.
Imhotep, un jeune garçon de 19 ans, le crane raser et la peau tanné par la volonté de Râ, l’astre du jour, plutôt petit pour son âge, il portai une paire de sandalette en cuir d’antilope et une jupe blanche a l’ourlets rouge et jaune du caste des tailleurs de pierre. Il pourras bientôt recevoir le petit filament dorée entre les deux couleur, synonyme de la fin de son apprentissage, un glaive pendait a son ceinturons. En parallèle, Mezhimere lui enseignait l’art de la Medounathieros, l’art de lier les hiéroglyphe au mondes. La magie des scribe.
Mezhimere fit passer un sac de toile remplit de papyrus a son disciple.

- tien, et viens l’appel est pour maintenant.

- Maitre, bégaya le jeune homme, pourquoi dois-je devenir un Prot….

- je n’est pas le temps de t’expliquer, le coupa Mezhimere. Sache juste que Thot m’as guider a toi.

Puis il dirigea Imhotep vers une dalle de grand taille. Le panthéon divin était représenter, entourant un scarabée de saphir.

Imhotep voulut parler mais il ferma la bouche en voyant les que le paysage avait changer.

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Marrtsy, Terre, 16éme âge ( soit environ 4110 après J-C)


Noalyy presse le pas, il n’aime pas le quartier qu’il fréquente, le quartier des Norgues, bientôt il serait arriver au Grand Circuit, le tunnel qui traversait tous les quartier racial de Marrtsy.

- Pourquoi c’est Triface n’ont pas de N-Wilx, grommela le jeune homme en augmentant d’un coup de talon la vitesse de ses Over-Shooze.
Les Over-Shooze était des chaussure a impulsion magnétique, qui permettait de faire des pas glisser en diminuant la friction entre le sol et la semelle toutes en diminuant le poids gravitationnel de son porteur. De quinze kilomètre heure pour un humain, on pouvait passer a quasiment cinquante. De plus leur utilisation du magnétisme leur permettait une courte autonomies dans tous les sens.
Noalyy mit la capuche sur ses court cheveux bleu turquoise mal coiffés. Il sera sa veste sous ses doigt, elle se fermait automatiquement. Alors que derrière lui une voix railla :

- tien! Mais se serais pas un Pinceau qui passe par cher nous…

Le jeune homme soupira, un Pinceau, il étai chanceux. Se surnom avait été donner par les autre race qui cohabitait maintenant sur terre, en raison de la couleur des humain, passer le début du quatrième millénaire, leur cheveux avait commencer a prendre, peu a peu, des couleur différent. Maintenant on pouvait dire sans trop de chance de se tromper que chaque humain avait une couleur de cheveux différente de son voisin.

- Non Trok. Répondit Noalyy tous sourire ▬ faux▬ en se retournant vers les Norgues qui l’avait interpeller. Vous voyer un Humain passer dans votre quartier. Tous en finissant sa phrase il passa sa main droite sur sa hanche. Un simple humain.

- Bien sur que les humain son simple, se sont des déchet! Des inferieur! Sans nous autre espèce, vous seriez encore en train d’assembler des bout de métal pour en faire des robots. Insulta le Norgue

- Et nous, autre Norgues, race supérieur a la votre. Ajouta son comparse en triturant sa corne droite. Nous nous feront un plaisir de vous le rappeler.

Noalyy frémit, les Norgues était brusque et cruel, il se savait en danger. Devant lui deux colosse de deux mètre de haut lui faisait face, leur visage d’extraterrestre était l’imager du sadique qui tombe sur un petit enfant innocent. Il jubilait tant que les deux corne qu’il possédait au niveaux des épaule, leur valant se surnom de Triface, frémissant.
Ils approchèrent, le coups allait surement bientôt subvenir, déjà leur grosse main se fermait. Noalyy dégaina.
En vertu des loi galactique, prenant en compte la faiblesse physique de certaine espèce sur les autre, les humain avait acquit le droit d’avoir, sous un permit, le droit de porter pour se défendre une arme de poing de faible puissance. Et ne pouvant entraine la mort.

- Sais qu’il as un petit Stupefeur le Pinceau. Ricana le Norgues. Il oublies que contrairement a des inferieur comme lui, nous autre race dominante que son les Norgue somme peut embêter par se genre de jouet.

- on vas voir sa….

Noalyy se retourna et d’une main fit feu. Il couru, poussant a plein vitesse ses Over-Shooze puis quand il arriva proche du grand Circuit, il regarda les deux Norgues stopper la poursuite et rengainant son arme. Bientôt il repris son souffle, en diminuant l’allure, bien qu’ils soit peu intelligent et cruel, les Norgues n’était pas Assez bête pour l’attaquer en plein milieu du grand circuit.
Le jeune homme leva le bras, puis lorsqu’un souffle d’air pneumatique se fit sentir au dessus de lui. Il referma sa prise sur la hanse du N-Wilx, ses petit engin volant automatique. Pendant que son œil mécanique scannait la paume de Noalyy, celui-ci sorti son Cubdex de la poche et le brancha su son oreille. Le cubdex pris s’ouvrit, un écran laser s’alluma devant l’œil gauche de son propriétaire alors qu’une tige se dépliai devant la bouche de Noalyy.

- Approche du quartier des Humain, localisation!

Une petit carte apparu devant l’œil de Noalyy, il la consulta puis avant de pouvoir affiner son choix. Il tomba. La stupeur ne dura pas, au bout de deux seconde c’est pied se posèrent sur le sol et il glissa dans la direction.
D’un combat.
De son destin.

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Quelque part en Afrique, environs -29000 avant J-C.


Silence.
Un pas feutrer, sur le sable chaud, un homme marche, déplaçant sa lourd et colossal carcasse noir. La grotte était proche. L’homme raffermit sa prise sur sa massue quand un grognement sinistre sorti de la gueule de pierre.
Effroyable.
Sauvage.
L’homme poussa son propre crie de bataille, repoussant sa peur et dopant ses force. Il leva sa massue et fondit a toutes vitesse vers la caverne. Ces long cheveux sale, coiffer en misérable dreadlocks battait son visage. Son habit de peau cachant son anatomie frémissant son la rapidité de ses pas. Ces botte de cuir martelait le sol.
Une ombre fondit sur l’homme, un tigre a dent de sabre toutes dent dehors venait de sortir de la grotte. Sous l’impact l’homme, tomba par terre en lâchant son arme, ses puissante main se refermèrent sur la ma mâchoire du félin. Celle-ci se rapprochait inexorablement de la gorge du noir. L’homme puisa dans toutes ses force, sa musculature se contractai sous sa peau, il faisait jouer tous ses muscle.
Crac!!
Une des long dent du Tigre cassa.
Surpris, l’homme relâcha sa prise.
La mâchoire se referma avec dans un bruit sec, assez de puissance pour briser net le bois d’un arbre.
Dans le vide.


L’homme battit des paupière, il n’était plus dans le désert.
Il voulut se relever mais ses mains était entraver par une épaisse chaine de fer. Avec un grognement sauvage, il souleva sa carcasse, et fit de nouveaux appel a tous sa puissance. Sans se soucier du rayon qui le frappa.

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Nantes, Studio d’enregistrement « au fil des Sons », Avril 2013


- Lalalalalaaa…

Lana repris son souffle et réaccorda sa voix de nouveaux.

- Lalalalalaaa…

- C’est parfait Lana. On va pouvoir, rentrer sur scène, Jean-Luc et Romy son prés avec leur instrument.

Lana Granfille nouvelle stars des jeune allait faire une sortit sur les planche. Chanteuse, elle était acclamer depuis peu de temps par des foule de d’adolescent.
Hector son garde du corps, un fin adulte eurasien, pris la parole.

- bon je vous accompagne, jusqu’à la scène, et je vais m’en griller une. Je vous retrouve ici a la pause.

La jeune fille se retourna pour lui répondre, mais ne vit qu’un poussette et deux femme.

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Bretagne, château de Gulis, sainte année 508.


Un jeune garçon, vêtu d’une tunique de lin et de cuir, ainsi que d’un pantalon du même tissu, marchait dans l’entrelacs de couloir de pierre. Arriver a une porte de pierre, il en poussa le battant, et arriva dans la salle d’arme du château.
Il promena sont regard dans la pièce, les effet des divers chevalier présent pour le tournois. Il arriva face a la malle de son maitre.

- Voila qui va ravir Sire lancelot, j’ai bien lustrer chacune de ses armure et son épée est parfaitement aiguiser. Dit le jeune homme en ouvrant la malle.

Puis il pris toutes les pièces qu’il put, se tortillant sur place il arriva a toutes les prendre. Puis il tendit sa main pour attraper épée du glorieux chevalier de la table ronde.

- Sire Edmund, le tournois va bientôt commencer, le sire lancelot me fait vous querir.

Jeune servante se tenait devant la porte, quand Edmund de Galles la regarda, pour lui répondre, elle baissa la tête avec déférence et respect.

- oui j’arrive, dit lui que je doit aller prendre son cheval a l’écurie.

- Bien, Sire. Dit elle en partant.

Trouver le chemin aux écuries fut plus aisée qu’il ne le crut, mais la tache ne fut pas facile pour autant car les 40 kilos qu’il portait dans les bras.
Essouffler, éreinter il arriva devant le palefrenier qui le lui tendit la longe.

- Comment va Calypso, vous l’avez ferrer avec soin j’espère.
- Oui Sire Edmund, je les fait personnellement. Garantissat le palefrenier.
- Alors nous savons, si mon maitre, Sire Lancelot du Lac, perdait, a qui cela seras la faute.
- oui, sire Edmund. Répondit l’homme dépitée.

D’un pas détacher, Edmund de Galles marcha vers le terrain du tournoi, tirant Calypso le cheval de son maitre, Le Chevalier de la table Ronde, Lancelot du Lac.
Il allait commencé a siffloter en passant une arche quand le cheval se cambra. Une ombre vrilla au dessus de lui et le sol de terre avait fait place a des paver délaver.

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Nanterre, février 1942.

Une gout de sueur perla sur le front d’un homme. Ces mains moite se resserrèrent sur la poigner de son attaché-case. Il remonta son autre mains et tripota les bouton de son impers, il venait de quitter la poste de Nanterre, sur sa rencontre avec « Max ». Lui, Daniel Fortin, avait été charger par l’illustre « Max » de vieller sur cette mallette.
Et son contenue.
Au bout de la rue trois jeune gens arborant un croix de fil jaune sur leur vêtement passèrent en baissant la tête. De sur le trottoir d’en face un homme habiller d’un long manteau noir, guettait, promenait ses yeux froid sur la foule.
- La Gestapo!! Cracha Daniel entre ses dent.

Mal a l’aise, il soupesa son paquet et passa la main a sa ceinture. La y était cacher un holster avec pistolet a six coup. Peut précis et surtout peu efficace contre les mitrailleuse des allemand, mais bien assez pour un petit résistant comme lui, pensait Daniel.
Redoutant une confrontation au millieu d’une émeute, il obliqua dans un petit ruelle, d’un geste anodint il remonta son col puis baissa son chapeau sur ses yeux.
Puis il ouvrit la porte d’un bar tabac.
Regarder droit devant.
Sans autre but.
Disparaitre.
Sans autre but.

Soudain il pilla. Devant lui, ce n’était plus la salle qui pensai trouver, mais une jeune fille qui brillait littéralement a dix centimètre du sol d‘un square bonder de monde, bras tendu vers un livre, lévitant a plat. Ses page tournait a une vitesse folle.
A coter d’elle un homme leva une batte.
Daniel courut vers elle.
Suivit par d’autre.

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Tchenaloste, terre, 13éme âge ( environs année 3500 )

L’ordre grésilla dans l’écouteur.

- NTC 13, ennemie a 3 heure, NTC 11, 12 et 1 ennemie a 6 heure, NTC 4, 6 et 3 rejoignez NTC 13. NTC 2 rejoignez NTC 1 et son groupe. NTC 5, 7, 8, 9, 10, 14, 15 bloquer les rue avoisinant, NTC Delta nous comptons sur vous pour tenir les position contre le criminelle jusqu’ a l’arriver des renfort du groupe de FHY Oméga, le PC central vous propose une prise en tenaille.

Se fut un concert de réponses affirmative qui répondit a l’ordre.
NTC 13, Cyborg de reconnaissance urbaine, vit le suspect passer sur sa ligne de mire. Il se mit a courir vers la femme, guider par la signature énergétique fournit par son radar de bases. Le souffle pneumatique de ses articulation mécanique attira l’attention sur la fugitive.

Le Cyborg parla de sa voix particulière.

- Arrêter vous! Vous été en état d’arrêt pour utilisation de…

Une boule de feu frappa le bouclier d’intervention de NTC 13

- Appel au PC central et au groupe NTC delta, cria-t-il dans son micro. Le suspect viens d’utiliser un sort de feu mineure, demande utilisation d’utiliser la force.

Silence.

- Autorisation de mettre a mort le renégat. Tuer moi cette racaille. Ordonna la voix métallique dans l’ écouteur du groupe.

NTC 13 sorti ses matraque électrique se la bases de ses poignet. Son bouclier d’intervention se rétracta comme un éventail japonais sur son avant bras droit. Puis levant la main droite il tira deux coup.
Les deux laser touchèrent leur cible en plein dans les omoplates.
La femme trébucha et s’affala par terre.

- Drosti, ty niortti gush frut saze, Frosti. Cria-t-elle ne levant les main au ciel.
Alors que la magie auxquelles elle faisait appel commençait a prendre forme, NTC 13 l’attrapa a la gorge et lui envoya une décharge électrique.

- Magicienne, en vertu des lois, je me voit en droit de vous arrêter pour utilisation de vos pouvoir malsain.

- aller au diable avec vos loi… la magie Vivera toujours en nous que vous le vouliez ou non!

Sans l’ombre d’une hésitation la poigne de NTC 13 se resserra su la gorge de la malheureuse, lui broyant le cou.
- Appel au PC. Renvoyer les renfort, le suspect est éliminer. Lâcha-t-il dans son micro en lâchant le cadavres de la femme.

Le sort quelle avait lancer se mis alors en marche. Une pluie de grava déferla sur le Cyborg. Écraser par les pierre qui lui tombait dessus. Le membre du Groupe NTC delta fit appel a tous sa mécanique pour se relever, ses doigt touchèrent une plaque de fer, il poussa.
Et sorti des égout.

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